Ces réunions ont commencé la semaine dernière et doivent se poursuivre jusqu'à l'obtention d'un accord cadre.
Notre intersyndicale, l'INPH, ne nous a pas tenu au courant de la tenue de ce cycle de concertations.
Ce sont donc 1500 médecins hospitaliers cotisants et des centaines de sympathisants qui sont réduits au silence.
C'est une situation inacceptable et nous avons donc décidé d'écrire en urgence à Mme Annie Podeur (voir le courrier), directrice de la DGOS, pour l'informer que le SNPHAR-E souhaite être invité ad-nominem et qu'à défaut le SNPHAR-E ne se sentirait pas engagé par la signature éventuelle de l'INPH.
La dégradation majeure de nos conditions de travail à l'hôpital mérite plus que jamais que la voix de tous les acteurs soit entendu.
Voir le précédent courrier aux Présidents des intersyndicales.